
Les Hautes-Vosges version impressionniste !
Il y a comme cela des régions en France, que l’on cite en dernier sur la liste des lieux de vacances ou de week-end incontournables. Ce n’est la faute ni à un rejet, ni un à mauvais souvenir, non, non, plutôt à une absence, à une méconnaissance. Les Hautes-Vosges, c’est où ça ? Nous, dans la famille on va plutôt à Antibes ! Nous dans les Landes, les Alpes ou les Pyrénées. Alors, année après année, on marche dans les traces de nos pas des étés précédents et la tradition se perpétue sans jamais que l’on passe dans les Vosges, jusqu’au jour où…
Rencontrer les Hautes-Vosges, c’est les adopter !
Peu importe l’occasion, un copain se marie, une amie expose dans un petit village des ballons vosgiens, le stage d’entreprise a lieu dans un bel hôtel qui vient d’ouvrir au cœur d’une nature sauvage et nous voilà propulsé dans les Hautes-Vosges. C’est là que l’aventure commence dans l’un des « cantons » dits des Hautes-Vosges. Des zones géographiques où l’altitude dépasse les 1000 mètres, nous parlons du versant Ballons des Hautes-Vosges pour l’authenticité et la nature, de la Bresse pour les loisirs de montagne hiver comme été, et du district de Gérardmer (on prononce Gérarmé) pour le lac, les hôtels de luxe, le linge des Vosges et les balades au fil de l’eau.
Les Hautes-Vosges, ce sont des « cantons » fiers de leurs différences, lesquelles les unissent cœur et âme dans leur statut de pays de moyenne montagne, de lacs et de forêts et de … saisons marquées. Car oui, les Hautes-Vosges connaissent quatre saisons bien marquées, ce qui est de plus en plus rare dans l’hexagone, avouons-le !
Les quatre saisons bien marquées des Hautes-Vosges
L’automne c’est l’été indien… heu non, pardon, l’automne vosgien, tout de mordoré vêtus, les paysages sont des hymnes à la beauté naturelle, aux vols des oiseaux, au brame des cerfs, aux premiers feux de bois dans les cheminées.
L’hiver, c’est blanc, l’heure de la luge, des skis, des soirées au coin du feu, des plats roboratifs.
Le printemps, c’est tout vert, bourré d’animaux à observer dont les fameux chamois, de ruisseaux chantants dans les champs et d’arbres fruitiers qui s’enorgueillissent de fleurs ruisselants en cascade, prélude à des belles récoltes de mirabelles et de myrtilles dites « bleuets ou bluets » quand elles sont élevées dans des vergers et « brimbelles » à l’état sauvage.
L’été !? L’été c’est la saison la plus reposante qui soit. Avec la modification des climats, quand les thermomètres atteignent des records à Paris, dans les grandes localités bétonisées, dans le sud-ouest, en Camargue, quand les bords de mer et d’océan ploient sous la masse de touristes, quand les soirées des villes s’enflamment en nuits tropicales, quand tout devient irrespirable… il y a les Hautes-Vosges d’été où le soleil a donné toute la journée et où les nuits d’une fraîcheur exquise et salvatrices, protègent un sommeil bien mérité, tant les activités n’ont pas manqué.
Un peuple, un terroir ! Les Hautes-Vosges on les a dans la peau !

En haut, en bas, sur terre comme dans les airs, les hautes-Vosges, ils les ont dans la peau ! ©Judith Lossmann
Dans les Hautes-Vosges, ça bosse dur, on travaille main dans la main avec la nature, que l’on sert en la préservant et qui sert en produisant plantes, herbes aromatiques, vergers débordants dont s’emparent avec respect herboristes, faiseurs d’huiles essentiels, éleveurs d’abeilles et producteurs de miel, fabricants de liqueur de gentiane.
Tout un monde vit dans, par et pour la nature, si généreuse, des Hautes-Vosges. Les femmes et les hommes d’ici sont des passionnés de leur terroir et cet attachement doublé d’un engagement de mémoire à leurs aïeux et d’une transmission à leur futur, les soudent à leurs Terres plus et mieux que tous les hauts salaires du monde !
Enracinés, ces femmes et ces hommes-là n’entendent jamais l’appel du large et offrent leur vie à la préservation d’une culture et de cultures.
20.000 kilomètres plus tard
Certains reviennent même au pays comme Gabrielle et William Bertaux, six ans en Nouvelle-Calédonie et hop, 20 000 kilomètres plus tard, le couple crée une ferme végétale pour produire les « simples » (j’adore ce joli mot pour des plantes essentielles) nécessaire à leur boutique Plantes et Potions, leur herboristerie, créée en 2017. Il faut visiter leur refuge, voisine du Markstein, proche des pistes tant en hiver qu’en été et des champs d’arnica, désormais extrêmement surveillés, afin d’espérer recommencer à récolter cette plante si puissante, emblème des Hautes-Vosges ! Leur jardin en pente est un véritable Eden où poussent joyeusement quelques soixante-dix variétés dont l’angélique, l’alchémille, le millepertuis, la calendula, des roses et un objet vivifiant parfaitement identifié bien qu’il ne soit pas un enfant du cru, le camérisier, venu du Canada, bourré d’antioxydants. Découvrez-le, c’est merveilleux ! Autant de plantes qui servent à fabriquer des eaux, des hydrolats, des tisanes et autres cosmétiques vendus dans la boutique. Un bonheur de mieux-être !
L’or vert des Hautes-Vosges : le sapin vosgien !
Ce n’est pas Clément Urion, paysan-herboriste et transformateur, installé à la Ferme du Bien-Être à Gérardmer qui dira le contraire. « Depuis toujours on vient de loin et d’ci pour bénéficier des vertus ; décongestionnant respiratoire puissant, purifiant naturel pour l’atmosphère, anti-inflammatoire. » Pour en tirer la quintessence, l’homme manie l’alambic en cuivre et la puissance de chauffe comme personne pour obtenir des huiles essentielles truffées de composants curatifs, des hydrolats subtils, qui rentreront dans la composition de recettes délicieuses propres à « soigner » petits et gros bobos.
La boutique regorge de fioles, pots, sachets, savons… Une caverne aux trésors ! Prévoyez d’y dépenser temps et argent !
En sortant de là, allez juste en face à cinquante mètres… Non seulement parce que les huiles essentielles de Clément se retrouvent dans leur confiserie mais aussi et surtout parce qu’une alléchante odeur vous attirera chez ces deux frères toujours enthousiastes. Ils affichent le sourire de ceux qui sont heureux d’être là et de faire ce qu’ils font…
Tous les fruits des Vosges… en bonbons
Martin et Justin Wesler, deux jeunes hommes qui ont embarqué famille, amis et comptes en banque dans la création de la Confiserie Géromoise, 100% locale, avec les huiles essentielles des uns, le miel d’un autre, le sucre d’un troisième.
Depuis, le succès est au rendez-vous, pour cet atelier artisanal de bonbons bio. Pour la petite histoire sachez qu’il aurait pu s’appeler La Vosgienne*, si d’illustres inconnus venus d’Espagne n’avait eu la prétention de se prendre pour des Vosgiens sans en avoir l’âme, ni le goût*.
Peu importe, laissons-là ces contrefacteurs et concentrons-nous sur leur production, notamment les fameux « gueule de bois » au succès retentissant. Il y a bien d’autres parfums et l’on se presse en bus pour visiter leur atelier de fabrication et sinon, leur site internet est particulièrement fourni.
* Mieux vaut le savoir les bonbons La Vosgienne n’ont rien de vosgien, ni même de français. Cette usine de fabrication de pastilles n’utilise rien en provenance des Vosges !
Le petit fruit bleu sous toutes ses formes
Brimbelles, myrtilles, bluet… Peu importe le nom, nous parlons bien de ce petit fruit sauvage ou cultivé qui se plaît tant dans les Hautes-Vosges, qu’il en est devenu la mascotte. Au Verger des Avolets, Bruno Vincent prend le relais de son père et cultive en bio quelques 3000 arbustes pour 8 tonnes de récolte. « Les bonnes années ont fait le plein, mais on subit les aléas climatiques comme les vignerons, tant que tout n’est pas cueilli tout peut être perdu ! ». S’il vend en local et en circuit ultra-courts, des barquettes de ses myrtilles ou bluets, ce qui le passionne et « rentabilise » les efforts, c’est la transformation de ses récoltes en bières, vins, softs, jus, confitures, liqueurs… Bonne nouvelle, on peut visiter ses vergers et sa boutique, il suffit de demander !
Gérardmer et son iconique maison de linge : Le Jacquard Français
Depuis 1888, malgré les infortunes liées à l’Histoire et les climats, les aléas dû à la concurrence, les audaces des techniques nouvelles et la détérioration manifeste de la qualité du textile sous emprise hégémonique de l’Orient, la belle maison traditionnelle Le Jacquard Français subsiste, poursuit son chemin et innove afin de produire à la fois dans la tradition et la contemporanéité tout en restant fidèle à ses racines vosgiennes. Un challenge ! Relevé hauts les mains par une équipe dynamique et créative d’une part et par le savoir-faire d’exception des faiseurs de matériaux, des petites mains des ateliers, et des métiers à tisser. C’est aux matière naturelles utilisées dans les créations qua la maison doit son succès et sa longévité. La fabrication d’un produit Le Jacquard français nécessite 11 étapes et six mois de travail. Du dessin, obtenus grâce à la technique « jacquard » inventée au 19e siècle par Joseph-Marie Jacquard, dont les motifs sont visibles tant à l’endroit qu’à l’envers.
Résultats ?
Des collections incontournables, iconiques, intemporelles. Une qualité et une durabilité exceptionnelles (on se transmet d’une génération à l’autre le linge signé Le Jacquard Français). Les plus grandes familles du monde se fournissent au Jacquard français, la couronne de Belgique, l’Assemblée nationale, le Sénat, Les JO2024, l’Élysée et l’avion présidentiel, tous commandent Le Jacquard Français, sans oublier les palaces internationaux.

Les métiers à tisser Le Jacquard Français ne connaissent aucune pause depuis 130 ans ! ©Judith Lossmann
Présent dans le monde entier et en particulier chez Harrods (UK), El Corte Inglès (Espagne), Isetan (Japon), Takashimaya (Songapour) SKP (Chine).
Les ateliers de productions se visitent (sur rendez-vous exclusivement). Une incroyable occasion de voir en œuvre, les 53 métiers à tisser et d’entendre le bruit des tissages, un son à faire vibrer cœurs et tripes comme il y a 130 ans.
Un magasin d’usine clôt la visite (il est ouvert à l’année à tous). On pourra acheter tout pour l’univers de la maison : lit, table, office, décoration, bain et ville avec quelques cabas et autres merveilleux sacs capables de donner de l’allure à toutes les tenues de ville.
Mention spéciale Paris : un flagship ouvre ses portes à Paris, 28 rue Bonaparte, 75006. Une belle occasion pour cet ambassadeur de la France et des Vosges de porter les couleur du slogan « La Vie En Vosges « ! » Affaire à suivre !
« Douceur climatique, chamois et dépaysement, désormais les Vosges attirent »…
Rapporte un journaliste des Vosges Matin, elles sont non seulement les montagnes les plus proches de Paris mais elles offrent un refuge lors des épisodes de canicules ! Une montagne certes mais aux contours tout doux et ronds comme les Ballons, des sommets accessibles, des chemins de randonnée au kilomètres, un parc naturel régional de toute beauté, ses voies vertes et chemins ouverts au VTT, des balades guidées pour l’observation des animaux et des chamois, ces grands animaux réintroduits dans les Hautes-Vosges en 1956 suite à un cadeau allemand. « Les 6 premiers individus », expliquent les guides Jean Pierre Claudon et Laurent Cahon lors d’une magnifique balade sur le Hohneck, « ont fait leur cette terre où rien ne les tourmente et forment aujourd’hui une belle colonie de près de 1200 animaux ».
Il faut venir les observer au petit matin, quand ils se savent seuls et tranquilles sur les lignes de crêtes quelque part entre Vosges, Alsace et Allemagne, entre ciel et terre, entre soleil et brouillard du matin, d’où ils émergent solitaires et heureux, sautillants de pierres en rochers avec l’aisance d’une danseuse étoile de l’opéra, les mères enseignant la sagesse des pas à leurs petits ! Des mères hyper vigilantes depuis la réintroduction de leur unique prédateur naturel : le lynx.
Y aller une fois c’est forcément revenir… dans les Hautes-Vosges !
En été, les Hautes-Vosges offrent une carte d’activités et de découvertes à 360 degrés. De l’ambiance tropicale des salles des métiers à tisser à une superbe balade en bateau électrique dans les coins et recoins du lac de Gérardmer, en passant par toutes les activités et visites et tant d’autres proposées par l’office du tourisme, les Hautes-Vosges le prouvent, elles ont tout d’une grande destination à découvrir.
Vous m’en direz des nouvelles ! … Judith Lossmann
INFORMATIONS PRATIQUES HAUTES-VOSGES
AVANT D’Y ALLER
hautes-vosges.net
labresse.net
gerardmer.net
ballons-hautes-vosges.com
Y ALLER
En train depuis Paris Gare de l’Est jusqu’à Nancy ou (si pas de changement de train) jusqu’à Remireront. Puis voiture de location/taxi.
PREMIER CONTACT DANS LES HAUTES VOSGES
- Office du tourisme communautaire des Ballons des Hautes Vosges : 03 56 11 00 90 – www.ballons-hautes-vosges.com
- Office du tourisme communautaire de La Bresse Hautes-Vosges : 03 29 25 41 29 – www.labresse.net/
- Office du tourisme communautaire Gérardmer Hautes Vosges : 03 29 27 27 27 – www.gerardmer.net/
DORMIR DANS LES HAUTES VOSGES
- Hôtel Les Sapins / Restaurant Voglio – 88160 Le Mesnil – Tél. 03 29 25 02 46 – www.hotel-les-sapins.com – lessapins88@gmail.com. Un petit hôtel gentillet et propre, idéal pour un dépannage. Manque de charme et trop près de la route mais… MENTION SPECIALE PETIT-DEJEUNER : ce sont probablement les meilleurs œufs fermiers à la coque que j’ai mangés depuis l’enfance, ne les ratez pas !
- La Villa Concorde / Demeure d’exception La Villa Concorde – 46 route d’Épinal – 88400 Gérardmer www.la-villa-concorde.fr/fr/demeure-dexception – +33 (0)7 69 53 09 88 – contact@la-villa-concorde.fr. MENTION SPECIALE DÉCOUVERTE : j’ai été bluffée par cet hôtel privé grand luxe sur les rives du lac de Gérardmer. Je lui consacre un article supplémentaire ici. Découvrez-le !
MANGER DANS LES HAUTES VOSGES
La Ferme Auberge Le Drumont, à 1200 mètres d’altitude. 7 Rte du Drumont, 88540 Bussang – Tél. 03 29 61 50 12 – Perchée sur les hauteurs de Bussang, la ferme-auberge domine Bussang de toute sa hauteur et offre un panorama d’exception à 360° sur le vert des vallées, les horizons arrondis des Ballons et l’immensité de la forêt vosgienne. Dans l’assiette ? Sans surprise,- puisqu’il est à la carte de tous les restaurants du coin-, le traditionnel repas marcaire : potage ou tourte de la vallée, viande de porc fumée accompagnée des roïgabrageldi autrement dit des pommes de terres braisés goûteuses, mais alors goûteuses ! Suivent le Munster ou un fromage blanc local simple ou agrémenté de fruits d’ici, et bien entendu l’incontournable tarte aux myrtilles… Avant ou après (mieux vaut avant) partez en balade sur le chemin des crêtes sur lequel d’un pas à l’autre on passe des Vosges à l’Alsace. Tout en haut (mais c’est facile d’accès), une table d’orientation et un décor de cinémascope s’offre au regard sous les yeux des vaches dont l’écho des cloches resonne à l’infini.
La Ferme du Dahu Bahu – 15 La Colline, – 88160 Ramonchamp – Tél. 06 24 42 04 66 – www.fermedahubarbu.fr/ Un repère rural et fermier que cette ferme ! Où tout ou presque tout est « fait maison », surtout le caractère de l’ancienne gendarme devenue agricultrice et de son mari. On mange sur une longue table, assis sur de longs bancs et tout au bout, derrière un mur de verre, on admire Mesdames les vaches à l’étable. Âmes sensibles, sachez que vous les mangerez ! Perso ce concept m’incommode, mais je suis bien la seule, il plait à beaucoup de visiteurs, lesquels rencontrent ici le plus court chemin entre la production (viandes, légumes, fruits) et l’assiette. Forcément c’est une carte de saison ! La maison propose également un grand gite de 100m2, très bien décoré, doté d’une immense terrasse avec vue à 180°. Un endroit idéal pour passer quelques jours au cœur de la fraicheur et de ruralité dotées de tout le confort contemporain.
Le Domaine de Montagne – www.domainedemontagne.com/ Le Chalet Frère Joseph tire son nom de Pierre-Joseph Formet, un homme qui s’est retiré sur ce lieu isolé des Hautes-Vosges pour y vivre en ermite 33 années durant. Entre 1751 à 1784. Une merveilleuse petite chapelle témoigne de son passage et marque l’espace d’une présence céleste. C’est là qu’un nouvel hôtel renait de ses cendres et ouvre ses portes il y a quelques jours, début juin 2025. On aime la table baptisée Le M. En salle et en terrasse, elle plonge les gourmands au cœur des massifs boisés, loin du bruit et du tumulte. Le savoir-faire gastronomique et étoilée du Chef Benoît Potdevin retient les hôtes autant que le cadre. (Dommage que les stores bans de la terrasse soient noirs, il faisait très chaud en-dessous, on les aurait préféré blancs ou clairs). Une sérénité est partout présente dans l’hôtel, les chambres, les suites et le spa dont le luxe apparait sans charger l’ambiance. Une belle harmonie !
Le Lido – 138 Chem. du Tour du Lac – 88400 Gérardmer – Tél. 03 29 63 67 32 – www.lido-gerardmer.fr/ On pourra déjeuner agréablement grâce à la vue sur le lac et à la végétation environnante dans ce grand bar-restaurant au bord du lac de Gérardmer avec plage, pédalos, et transat. Carte variée. Cuisine de saison.
NB : Le jour où nous avons testé le service fut extrêmement lent et complexe. On nous assure que c’était le début de saison donc on retient cette adresse facile d’accès et sans chichis pour déjeuner ou diner les pieds dans l’eau
ACTIVITÉS DANS LES HAUTES VOSGES
- Se balader sur le massif https://www.parc-ballons-vosges.fr/
- Visiter le musée de 1001 racines : https://www.1001racines.fr/
- Visiter le Théâtre du Peuple (nous n’avons pas pu le visiter) à Bussang, dont la particularité est d’avoir une scène ouverte sur la verdure et la végétation. Il est présenté comme un formidable vaisseau de bois construit en lisière de la forêt vosgienne au tournant du 20e siècle. Le lieu, nous dit-on, fourmille de créations (nous n’avons pas pu assister à une représentation.) www.theatredupeuple.com
SHOPPING / À RAPORTER DES HAUTES VOSGES
- Les bonbons de la Confiserie Géromoise www.confiseriegeromoise.fr
- Le Jacquard Français www.le-jacquard-francais.fr
- Plantes et Potions www.plantes-et-potions.com
- Le Ferme du Bien-Etre https://gaec-fermedubienetre.fr/
- Les Vergers des Avolets https://www.bienvenue-a-la-ferme.com/grandest/vosges/rupt-sur-moselle/ferme/les-vergers-des-avolets/618430
- Vins, alcools et jus de fruits de la Maison Beau Cerf (pas testé), www.domainebeaucerf.fr/
CHAUFFEUR/TAXI
Compagnie Marcot – 03 29 30 10 90 – agence@marcot.fr
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