dimanche 12 octobre 2025

5000 km, zéro regret : mon retour sans filtre sur le Cyrusher Kommoda 2.0

5000 km, zéro regret : mon retour sans filtre sur le Cyrusher Kommoda 2.0

5000 km parcourus, des centaines de courses transportées … et pas une seconde de regret. 
Il y a comme ça des objets de notre quotidien qui dépassent leur simple fonction. Un vélo, c’est censé nous emmener d’un point A à un point B. Et pourtant, certains deviennent des compagnons de route, des marqueurs de liberté, des prolongements de soi. Le Cyrusher Kommoda 2.0 est de ceux-là. Moi, je l’ai adopté il y a 5000 kilomètres déjà… et chaque sortie est toujours un plaisir.

La liberté au quotidien avec mon Kommoda Cyrusher

Partir faire ses courses, aller chercher la litière de Lilly (qui, soit dit en passant, ne se transporte pas facilement sous le bras !), filer sur un sentier forestier ou simplement rouler pour le plaisir… Avec le Kommoda, tout devient simple. Au quotidien, mon vélo a remplacé la voiture dans bien des occasions, au point qu’il m’arrive de me demander pourquoi je la garde encore. C’est une drôle de sensation que celle d’avoir retrouvé une autonomie immédiate, joyeuse, sans contrainte. C’est tellement facile de se garer, on gagne un temps fou et quelle indépendance !

Un beau colosse de 35 kg

Ne vous y trompez pas : le Kommoda n’est pas un frêle vélo de ville qu’on soulève d’une main. Avec ses 35 kilos, c’est une vraie bête de route ! Mais cette masse, il la porte bien. Elle est synonyme de solidité, de fiabilité, et surtout d’une puissance moteur qui ne faiblit pas dans les côtes. Je l’ai testé dans des montées où n’importe quel vélo classique m’aurait laissé poser pied à terre : lui grimpe, sans broncher, sans souffrir, comme si de rien n’était.
Comme je ne l’ai pas débridé (mais c’est possible), il reste bloqué à 25 km/h comme la loi l’impose. Résultat ? Sur le plat, je me fais doubler parfois par des Velib… mais dès que ça monte un peu, à peine… je leur mets une sacrée pâtée !

détais sur le Kommoda de Cyrusher

Kommoda, Cyrusher

Les joies du fatbike Kommoda 2.0

Ses pneus ? Énormes ! De vrais boudins qui, au premier regard, intriguent toujours les passants. Mais quelle efficacité ! Bitume, chemins caillouteux, herbe humide ou sable des plages, rien ne lui résiste. Avec lui, on change de terrain comme on change de rue. On ne réfléchit pas, on roule. Et cette polyvalence, croyez-moi, ça change tout au plaisir de circuler.
Quand je rentre d’une virée dans les petits chemins boueux du bois de Boulogne après la pluie, un détour à la station de lavage moto et hop, il redevient tout beau tout neuf pour rentrer dans mon salon. Oui, dans mon salon. Le garage à vélos de l’immeuble est saturé, et dehors, il serait bien trop tentant. Alors le Kommoda trône comme une œuvre d’art au milieu du séjour.

L’effet star du quartier

Tous les jours ou presque, la même scène. On m’arrête. « Qu’il est beau, votre vélo ! »
Puis la question qui suit immanquablement : « Et… combien ça coûte ? »
Le Kommoda attire, fascine. Sa ligne trapue et élégante fait tourner les têtes, comme une moto de caractère qui ne laisse pas indifférent. J’en souris à chaque fois : j’ai l’impression de sortir avec une vedette de cinéma !

Beau, costaud… mais parfois capricieux

Alors oui, parfois il m’agace, ce colosse têtu qui se laisse tomber raide mort quand sa batterie décide de faire la grève, qui me fait jurer quand son pneu choisit la crevaison comme compagnon de route. Mais au fond, c’est un peu ça la vie à deux : on accepte les défauts pour mieux savourer les qualités.
Le Kommoda a ses petites humeurs, à commencer par son affichage de batterie. Un matin, il m’indique 60 %, et trois rues plus loin me voilà à 50 % ! De quoi semer un petit doute sur la distance restante…
Autre détail : sa hauteur de cadre. Le vélo est bas, il faut vite prendre l’habitude de lever la pédale opposée dans les virages pour ne pas accrocher. Une gymnastique qui devient naturelle avec le temps, mais qui surprend au début quand ça racle le bitume.
Et puis, il y a les jours noirs : batterie vide ou pneu crevé. Avec ses 35 kg, inutile d’espérer le pousser bien loin. On le laisse sur place, et on peste. Sans oublier que, comme tout fatbike, il crève un peu plus souvent que la moyenne. Enfin, avouons-le : c’est un appel au vol permanent. On le sait, on le sent. Alors, antivol solide obligatoire, retrait de la batterie et vigilance de rigueur.

5000 km plus tard…

Malgré ces défauts, le Kommoda reste un compagnon irremplaçable. Car dès que je reprends le guidon, que ses larges pneus mordent le bitume ou s’enfoncent dans le sable avec une assurance tranquille, je retrouve ce sentiment unique : celui d’être libre. Libre de tracer ma route, de prendre un détour, de filer vers un chemin inconnu. Libre aussi de susciter un sourire, une remarque, une étincelle de curiosité chez les passants.
Il m’a appris qu’un vélo peut être bien plus qu’un moyen de transport : un symbole, un passeport vers une vie plus fluide, plus légère, plus libre.

Le Kommoda 2.0 n’est pas qu’un vélo. C’est une promesse. Celle de continuer à avancer, encore et toujours. En 15 mois, il m’a offert 5000 km de liberté, de plaisir, d’imprévus joyeux. Je l’utilise pour l’utile comme pour l’inutile, pour le quotidien comme pour l’évasion.

👉 Ambassadrice Cyrusher

Petite précision : je suis ambassadrice Cyrusher. Si vous envisagez d’acheter un vélo de la marque, suivez ce lien : https://cyrusher.fr et sachez qu’en appliquant le code JUDITH lors de votre commande (Kommoda ou autre), le prix d’achat diminue immédiatement. Une belle manière de franchir le pas… et de s’offrir sa dose de liberté au guidon !

En conclusion… 5000 km derrière moi… et déjà l’envie d’en avaler 5000 de plus avec mon Cyrusher !

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